Swinguez en Provence, so chic !
Golfer au printemps oui, mais en Provence ! De green en green sous la lumière du midi… Un séjour dans le Var pour la douceur de vivre et le charme toujours clinquant de la “French Riviera”
La Provence à deux pas
Décidément nous ne nous lassons pas de nos escapades en France. La compagnie Flybe qui dessert Toulon est complice de tous nos caprices et nous ne manquons pas de colorer chaque printemps d’une « french touch » pour nous délecter d’un art de vivre légendaire sous le soleil de Provence. Une soirée chez les enfants à Southampton et hop le lendemain déjeuner à la Table de Louis sur les greens de Roquebrune-sur Argens ! La magie des voyages…
Au cœur de l’essentiel
Le Daya Hôtel est un enchantement qui allie excellence et simplicité. Idéalement situé il nous a permis de jouir des services prestigieux du Delli Resort mais aussi de rayonner vers toutes les petites merveilles du Var, de la Dracénie secrète aux mythes du Golfe de Saint-Tropez, de goûter à la sérénité de ses espaces de bien-être hors du commun, de nous asseoir à ses meilleures tables pour nous régaler des mets les plus subtils.
Jamais sans nos clubs
British jusqu’au bout des doigts, notre passion nous accompagne. Nous agrémentons toujours nos séjours d’un ou deux parcours et nous aimons ce mois de juin provençal qui étire nos journées et facilite nos départs matinaux. Philip a beaucoup aimé le design du golf de Roquebrune, j’ai préféré celui du golf de Saint-Endréol mais tous deux sont signés Michel Gayon, un architecte qui souligne harmonieusement les formes de la nature pour le plaisir du jeu et le bonheur des yeux.
Le pays des tentations
Comment ne pas céder après la visite de la Maison du chocolat ? Ne pas se laisser séduire par l’élégance et l’arôme des rosés de Provence au fil des dégustations ? Qui parvient à changer de trottoir pour éviter la vitrine de la « Tropézienne » ? Et l’excellence du « savoir faire » dépasse le registre gastronomique, artisans d’art et traditions s’entendent pour forcer le poids des valises… Je me souviens que la pipe que fume Philip sur une photo à la terrasse de Sénéquier avait été dénichée chez un maître pipier à Cogolin !
Mary
